Une nouvelle demeure ?

La nuit venait de commencer, une jeune femme avait franchie les portes de la ville, il fallait pour cette jeune femme trouver un abris. Le soleil ne pouvait pas tuée Val mais sa peau est devenut blanche et froide comme les ténébres , des yeux jaunes rouges une couleur sang. Tout le physique d'un vampire qui ne devait pas être dévoiller aux humains. C'est avec un vent d'hiver glacial avec une petite pluie de saison qu'elle se balladait dans la ville de rue en rue.
Un sourire se déssinait sur ces lévres un manoir décidait enfin à se montrer. Au dessus du Manoir de gros nuages grisâtres encombrent le ciel, des corbeaux qui tournait autour.

C'est avec des pas trés décider qu'elle se dirigeait vers la gueule du loup. Elle se moquait de l'accueil qu'ele pourrait avoir, elle avait un objectif à atteindre comme une quête à faire qui pourrait durée des siécles. Avec seulement un sac de voyage la jeune femme n'avait jamais assez d'argent pour s'acherter tout le temps des vêtement classe . Mais pour une fois elle s'était habiller classe pour cet évènement ! Devant le manoir un portail noir et surment rouiller à cause des années passer attendait Val. La vampire poussait ce portail malgré son allure était légère mais à la fois térrifiante. Un chemin indiquait le chemin de lentré du manoir.

Lorsqu'elle se trouva devant l'entrée qu'est qu'elle devait faire ? Elle ne voyait pas de lumiére à l'intérieur du Manoir ! Mais d'un côté les vampires peuvent voir dans le noir, peut-être qu'il faisait des économies ? Par politesse la jeune fille prefera frappez trois fois qui faisait un bruit sourd à l'intérieur du manoir.Aprés avoir attendu quelque minute devant la porte, ellepreferait rentré dans sa demeure. Aprés tout c'était la que devait s'installer les vampires alors Val n'allait pas se gener.

Elle entrait dans la demeure qui avait l'air vieille, le plafond était vaste avec des peintures entrain de s'écailler. Par terre des tapis rouges avec de la poussiére un peu partout...Val entaint avec un sac sur le dos, elle avait fermer la lourde porte laissant derriére elle un bruit sourd et terrifiant. En avancant on entendait juste ces pas

"Youh Ouh ya quelqu'un ?"

La jeune fille observait les lieux en même temps, pas un chat mais l'entrée était grand devant elle deux couloirs sombre mais aussi deux escaliers un à droite et un à gauche. Elle prenait la direction d'un des couloirs sombre, cela la menait vers une salle da balle, de grande fenetre avec des rideaux poussiéreux. Kim regardait devant elle un trône ou même plusieurs. COmme tout les manoirs il devait avoir un grand roi dans ce chateau. Puis Kim avancait vers le trône et prenait plaisir à s'installer dedant, ne ce doutant pas qu'il pourrait avoir une personne, elle s'assayait et posait son sac à ses pieds. Afin de se reposer un peu de son voyage !

A la nuit tombée, le manoir, isolé dans un coin du royaume, était plongé dans l'obscurité. De nombreux vampires étaient censés y "vivre" mais aucun nuage de fumée ne s'échappait des cheminées, aucune lumière n'était visible à travers les fenêtres du vieux château. Dehors, un vent froid, signe de l'arrivée prochaine de l'hiver, balayait des restes d'ossements qui faisaient office de décoration dans ce qui restait des vieux jardins entretenus autrefois par les humains.

La vieille grille couverte de rouille s'ouvrit en grinçant, et l'imposante silhouette d'un cheval traversa le bout de terrain qui la séparait du manoir au grand galop, ses sabots labourant le sol couvert de gravier. Une fois arrivé devant les portes du manoir, le cavalier solitaire dont tout le corps -mises à part les jambes- était caché par une longue cape noire, passa une jambe au dessus de la croupe de sa monture et descendit avec souplesse. puis il passa ses rênes au dessus de son encolure et alla l'installer dans les écuries. Surpris de ne voir aucune autre bête, il sortit des écuries d'un pas toujours aussi lent mais que l'on pouvait deviner très prudent.

En s'approchant de la porte d'entrée, il vit des traces de pas sur le sol. La pluie venait de cesser, quelqu'un était donc entré dans le manoir il y a de cela quelques minutes à peine. Il poussa l'épais assemblage de bois et d'acier, fit quelques pas dans le hall et s'arrêta. Lorsque la porte se referma, assez violemment il fallait l'avouer, il ne sursauta pas. Au moins la personne qui se baladait dans son manoir à cet instant était prévenue de son arrivée.

Les pas continuaient et empruntaient un couloir étroit, dans lequel le vampire s'engouffra sans hésitation. La salle de bal. La porte était fermée mais il devinait, grâce à l'aura, la présence d'un autre vampire à l'intérieur. Il n'avait donc pas besoin de sortir ses armes ou même de rester plus longtemps sur ses gardes, l'intrus était de sa race, et même de son clan. Il poussa lentement la porte et pénétra dans la pièce.

Sakito commença à observer la pièce d'un peu plus près, quand ses yeux se posèrent sur le trône qui était réservé au chef du clan, c'est-à-dire lui. Dans ce grand fauteuil encore assez poussiéreux était assise une jeune femme que Sakito devinait âgée d'une vingtaine d'années à peine. Il devait l'avouer, elle était très belle pour une fille si jeune (en général il préfère les femmes un peu plus âgées^^): teint pâle, corps svelte, de longs cheveux de jais... bref, tout ce dont a besoin une jeune vampire telle que celle-ci pour réussir. En effet, son corps, sa façon de s'habiller et de se tenir étaient le reflet d'une certaine éducation. Rien à voir avec les guerrières qui ressemblaient plus à des démones qu'à des vampires...

Un sourire apparu au coin des lèvres du jeune homme (façon de parler). Sourire caché par le capuchon noir et la longue chevelure de même couleur qui retombaient sur son visage. Il se mit face à la jeune fille, restant quand même à quelques mètres, et s'inclina respectueusement, comme s'il s'agissait de son propre Seigneur.

- Bonsoir. Ravi de voir que cette vieille masure n'est pas complètement abandonnée..., dit-il de sa voix calme et douce... voix que l'on jurerait sortie de la bouche d'une femme.

- Etes-vous la maîtresse de ces lieux?

Une pointe de surprise dans sa voix. N'importe qui le connaissant bien aurait trouvé ça étrange. Aussi étrange que son comportement docile et agréable...

La jeune fille fatiguée de ce long voyage pourquoi faire ? Vous serez informer dans les autres épisodes. Installer dans un fauteuil certe poussiéreux mais quand on est à moitier assomer on fait pas de chichi. Jusqu'au moment ou elle entendait la porte d'entrée se fermer brusquement. Tiens es le maitre des lieux ou une autre vampire ? Val n'était pas inquiéte mais quand même sur ces gardes si c'est encore un autre tarées humains qu'il venait faire un chasse au vampires.

Vous ne savez pas se qu'est cette chasse ? C'est simple le jeu consiste à tuer des vampires ! De plus avec leur croyance débile comme quoi il ne peuvent toucher un croix ou de l'eau bénite faisait fondre des vampires; Ce jeu la amusait bien Val car elle avait pitier d'eux, eux sans pouvoir une cible trop facile pour les vampires ! Val entendait des pas qui s'approchait d'elle de ces yeux rouges ellepouvait voir que c'était un homme. Dans l'obscuriter total l'homme pouvait voir la jeune fille donc Val en concluait qu'elle était sans crainte et que c'était surement un de ces confréres.

Le jeune homme lui parlait dans une certaines classe. Avait-il de l'ancienneter pour parler comme cela ou tout simplement il existait encore des gentlemans ? Val n'en savait rien mais ses avec un sourire qu'elle lui répondait.

"Bonsoir"

Puis elle se levait face au jeune homme, comme si elle savait qu'il ne fallait pas être sur ce trône mais il y avait personne alors pourquoi ce priver d'un fauteuil aussi confortable.Mais vu le ton du jeune homme d'un air surpris elle avait compris. C'était lui le maître de maison et le dirigeant de ce trône.

"Non Monsieur ! Ce trône n'est pas à moi et encore moins cette maison ! A moins que je me trompe !"

Disait-elle avec un sourire et en regardant dans les yeux ce jeune homme.

Lorsque la vampire se leva, Sakito n'esquissa pas le moindre geste. Pourtant, il sentait bien son regard sur lui. Pourquoi se cacher plus longtemps? Après tout, chacun a le droit de voir le visage de son seigneur...
Il ôta son capuchon, laissant découvrir une longue et épaisse chevelure noire, striée à l'avant de quelques mèches blanches, puis détacha sa cape qu'il lança sur un fauteuil non loin. il fit de même avec le long et épais manteau noir dans lequel il était emmitouflé. A présent, il n'était plus vêtu que d'un tee-shirt noir sans manches (qui on peut le dire était bien moulant) et d'un long pantalon noir. Le seigneur des vampires avait l'habitude de voyager avec des vêtements sobres, en revanche une fois bien installé chez lui, son style vestimentaire devenait plus... original. Il s'installa sur le fauteuil qu'occupait la jeune femme quelques secondes auparavant et croisa ses longues jambes.
Après avoir baladé ses yeux un peu partout sur le corps de la jeune femme, Sakito passa une main dans ses cheveux d'un geste féminin et commença:

- C'est étrange, il ne me semble pas avoir jamais vu votre visage par le passé... D'où venez-vous?

La curiosité, un des plus gros défauts de Sakito. Parfois elle lui était utile, parfois pas. En regardant cette jeune fille, il ne pouvait s'empêcher de penser à Hisae. Ces longs cheveux noirs, cette peau blafarde, ces traits fins... elle avait l'apparence de n'importe quelle vampire et pourtant, c'était à une femme en particulier qu'il pensait. A son grand regret, il avait du faire la moitié du voyage et atteindre la ville seul, sans Hisae pour prendre soin de lui, ce qui lui avait valu plusieurs crises à cause desquelles il aurait pu y rester. Il lui tardait à présent de la voir arriver au manoir, de son pas assuré et son expression sérieuse, dévisageant d'un air hautain tous ceux qu'elle croiserait, vampire ou pas.
Sakito sortit brusquement de ses pensées et, avant que la jeune femme ait pu lui répondre, la questionna de nouveau:

- Au fait, pardonnez mon manque d'éducation. J'ai omis de me présenter. Je suis Sakito Mitsuo...

C'est en murmurant qu'il termina sa phrase:

- ... également connu sous le nom de Caïn.

Puis il sourit comme si de rien n'était et attendit que la jeune femme réponde tout en regardant plus en détail la salle dans laquelle il se trouvait. Trouvant l'architecture tout à fait à son goût, il se promit d'organiser un bal très prochainement...

L'inconnue se désabillait (façon de parler ^^) devant la jeune vampire. Il était habiller d'un style original mais enfin Val pouvait voir le visage du maitre des lieux. Elle l'observait attentivement, des long cheveux noir et épais avec quelque méche blanche devant ! Le maitre serait -il plus âgées qu'on le croit ? Peut-être...puis il s'installait sur son fauteil jambes croisées. Val toujours audessus de lui debout accouder au trône le regardait gentiment avec un air de supérioriter ^^. Elle n'avait jamais eu de demeure encore moins de trône donc un peu d'imagination ne faisait pas de mal dans ce monde. Il lui demandait d'ou elle venait.

"Je viens d'un village dans la campagne !"

La réponce de la jeune fille était simple et mystérieuse peut-être parce qu'elle voulait garder ce côter ! Elle aimait bien jouer avec ce côter mystére. MAlgré qu'il pouvait devenir dangereus pour elle, mais elle préferait tenter le coup. Afin d'être polie elle se déplacait pour être en face du maitre ! La longue robe qu'elle portait trainait par terre sur un sol qui a servit autre fois mais plus de cette époque. Val regardait autour d'elle pas d'autre vampire serait -elle sa premiére visiteuse ? Depuis combien de temps d'année ou peut-être même de siecle ? Des questions se posait dans la tête de la jeune vampire, au moment ou le maitre parlait pour lui présenter des escuses !

"Je vous en pris! Je pence que vous êtes le seul gentlemen que j'ai rencontré ! Enchantez Monsieur Mitsuo SAkito ! Je me nomme Hellsing Val !"

Disait -elle en inclinant la tête, car fallait -il se prosterner ? Val ne preferait pas faire de bêtise dés la premiére rencontre ! Le maitre mumurait un surnom de lui

*Cain ! Jamais entendu parler !*

Un village de la campagne…

Une réponse que Sakito ne trouvait pas franchement crédible, mais il avait décidé de ne pas se mettre de mauvaise humeur dès son arrivée dans la région. Il continua donc de scruter la pièce quelques minutes, semblant ignorer totalement ce que la jeune femme disait. Sans plus se préoccuper d’elle, il dit d’un ton indifférent :

-Je n’aime pas votre nom…

Puis il reposa les yeux sur elle et détailla sa robe qu’il trouvait fort jolie.

-… Mais j’aime vos manières.

Il esquissa un sourire charmeur et se leva gracieusement de son trône. Après avoir fait quelques pas pour se rapprocher de Val, et ne se tenant plus qu’à une poignée de centimètres de la belle vampire, il caressa son cou du bout des doigts, remonta sous son menton et arriva jusqu’à son pâle visage qu’il débarrassa de la mèche de cheveux qui le cachait partiellement.

- De plus, si je peux me permettre, cette robe vous va fort bien.

D’un geste élégant, la main de Sakito frôla le corps de Val et prit délicatement sa main entre ses doigts fins. Il l’entraîna ensuite vers un trône placé juste à côté du sien et l’invita à s’asseoir.

Il alla se rasseoir sur son propre trône et croisa de nouveau les jambes avant de passer sa main dans ses cheveux.

- Au fait, ne vous fiez pas aux apparences… Je ne suis pas un gentleman, dit-il de sa voix suave.

- Mais vous aurez le temps de me juger une fois que vous aurez passé plus de temps en ma compagnie. J’espère que cela ne vous dérange pas d’avoir pour seigneur un individu tel que moi…

Le jeune homme venait de repprocher à la jeune fille qu'il n'aimait pas son nom mais ses maniéres. Il s'était rapprocher d'elle en lui faisait des compliments sur sa robe. Mais surtout il s'approchait d'elle en lui caressant son visage. Pourquoi faire n'avait-il pas vu une femme depuis combien de temps ? Une des méches rebelles noire se balladait sur son visage es que le seigneur avait -t-il des maniéres ? En tout cas il n'aimait peut-être pas des méches rebelles.

*Que faire ? *

Val fermait les yeux, les caresses du jeune homme était douce et sens mauvaise intention, elle se laissait faire comme un pantin ! Il lui touchait la main, elle remarquait que sa main était aussi glacial que la sienne. Par la suite il l'installait sur un trône à côter du sien. Il lui disait qu'il n'était pas toujours aimable et encore moins un gentlemen ! Val était nouvelle dans cette ville si elle avait décider de vivre dans ce manoir elle savait qu'elle devait faire fasse à un seigneur !

"Je serais à vos côter mon seigneur à part si vous me blessez !"

Val voulais être claire , elle veut bien supporter son seigneur mais s'il n'abuse pas d'elle. Ecouter Val pouvait le faire à une condition si l'autre aussi l'écoute ! En disant ces paroles elle ne voulait pas enerver le maitre mais juste lui faire comprendre. Au pire s'il la rejete elle irai autre part mais cete demeure attirait Val. C'est comme ci le manoir l'avait appeller !

La jeune vampire s'accoudait au trône car elle sentait la fatigue l'envahir ! Cela faisait quelque jours qu'elle faisait ce voyage et elle n'était pas déçue.Mais ces yeux commencait à devenir plus petit que d'habitude, elle se secouait la tête afin de tomber raide sur le trône. Elle attendais patienment que la conversation soit finit pour aller se coucher

Sakito fut agréablement surpris par les paroles de Val. Il s’attendait à beaucoup moins de collaboration de la part d’un vampire plus jeune et certainement plus vif que lui. Les individus de sa race n’avaient donc pas tous perdu le respect qu’ils devaient à leur créateur et surtout à leur chef. Tant mieux pour lui.

- Je n’ai nullement l’intention de vous nuire, sachez-le. Au contraire, ça fait plaisir de voir que mes sujets ne m’ont pas totalement abandonné…

Il décroisa ses fines jambes, se leva et se posta juste devant la fenêtre, tournant le dos à la jeune femme pour regarder ce qui se passait dehors. Il faisait maintenant nuit noire mais cela ne l’empêchait pas de voir les tombes qui entouraient le manoir bouger. La terre qui recouvrait des dizaines de cercueils ondulait toute seule, des cadavres en cours de décomposition remontaient à la surface du sol, des restes d’ossements se réunissaient pour former des squelettes entiers, la plupart humains. Un sourire maléfique illumina le visage du Seigneur vampire. Le pouvoir caractéristique des vampires était celui de ressusciter les morts… enfin, ils ne ressuscitaient pas vraiment, car les vampires avaient beau savoir contrôler leur corps, ils ne peuvent leur insuffler la vie. Les troupes de mort-vivants telles que celle que Sakito était en train de former n’avaient ni intelligence, ni volonté propre. Ce n’était que des poupées désarticulées qui obéissaient au doigt et à l’œil de leur maître. La nuit, ce spectacle reviendrait souvent, Sakito le savait. D’autres vampires allaient arriver, et à plusieurs ils pourraient faire revenir à la vie autant de mort-vivants que Sakito à lui seul. En revanche le jour, la majorité des cadavres resteraient sous terre… les vampires –et surtout leur chef- ne pouvaient ni ne devaient utiliser ce pouvoir. D’abord car les humains n’étaient pas loin et qu’ils pourraient se poser des questions, voire même pénétrer dans le repaire des vampires lorsqu’ils sont les plus vulnérables. Mais surtout parce que ce pouvoir n’était pas à prendre à la légère. Trop puissant, utilisant trop d’énergie. Le vampire le plus faible le jour (Sakito) mourrait en quelques secondes s’il essayait de l’utiliser.

*Décidément, ce pouvoir est une arme à double tranchant…*, pensa-t-il en souriant.

Puis il se retourna et vit –non sans une certaine surprise- que sa jeune compagne n’était pas vraiment en état de poursuivre la conversation. Il s’approcha d’elle et passa une main dans ses cheveux. Il doutait qu’elle soit vraiment consciente. Dans quelques secondes elle serait endormie de toute façon. On frappa à la porte. Le vampire n’y prêta pas attention, puis la poignée s’abaissa et une jeune femme apparut, la démarche assez bien assurée pour une morte-vivante mais les longues écorchures visibles sur tout son corps à travers sa robe déchirée témoignaient de sa « non vie ». Elle s’inclina respectueusement devant son maître et passa délicatement ses bras sous les jambes et dans le dos de Val. Elle la porta jusqu’à sa chambre, la débarrassa de ses vêtements et l’installa confortablement dans son lit, pendant que Sakito écrivait quelque chose sur un morceau de papier. Quand sa servante sortit, il posa le morceau de papier sur la table de nuit. Le message écrit à l’encre noire disait cela :

« Ma chère, après avoir constaté qu’il serait difficile pour vous de porter une quelconque attention à mes paroles une seconde de plus, je me suis permis de vous conduire à votre chambre. Si vous le désirez, des salles de bain sont disponibles un peu partout dans le manoir. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, demandez aux quelques serviteurs que j’ai amené au château pendant votre sommeil, ils vous sont totalement dévoués. Pour ma part, j’ai à faire en ville. Si tout se passe pour le mieux, je serai de retour à l’aube afin de profiter avec vous d’un délicieux déjeuner. Si ce n’est pas le cas ne vous affolez pas et demandez aux cuisiniers de vous préparer quelque chose, ils ne demandent qu’à vous être utiles. Sur ce, je vous souhaite une bonne nuit. A demain matin, Mitsuo Sakito. »

Puis il descendit vers les écuries, scella rapidement sa monture et se hissa sur son dos. Quelques secondes après, une petite silhouette noire sortait du manoir, ne montrant plus sa présence que par le claquement des sabots sur les dalles de pierre.

La jeune fille s'était belle et bien endormit sur le trône alors qu'elle se faisait porter jusqu'a son lit. Son Seigneur avait autre chose à faire en ville. La vampire était installer dans une chambre assez vaste on aurait plutôt dit une suite ! La vampire se reveillait toute habiller comme l'autre nuit. Quel désarrois elle se sentait aussi sale qu'un cadavre en décomposition ! C'est avec grace qu'elle enlevait les couvertures qui la bordait, puis de ces yeux rouges elle observait se qui l'entourait. Un plafond avec des description ancienne cela se voyait car la peinture s'ecaillait.DEs tables de nuit avec des lampes à huiles pour éclairées naturellement la vampire n'avait pas besoin de cela pour voir ! Une grande fenêtre avec naturellement des rideaux pour cacher du soleil dont un vent froid faisait claquer ces bout de tissus mais le jour ne s'était pas encore lever.

La jeune fille soulevait les rideaux comme une enfant qui découvrait une piéce, c'est avec stupéfaction qu'elle se trouvait sur un balcon qui donnait vu sur les jardins de la demeure. Val ne pensait pas que c'était aussi grand, puis elle se retourna afin de prendre son sac de voyage qui avait été poser délicatement sur un bureau en or.Elle trouvait sur une des tables de chevet une lettre, elle l'a prenait et sourirait c'était un mot de son Seigneur en lui disant qu'il aimerait bien dejeuner avec elle et lui donnait à disposition tout ces domestiques. En revenant au bureau ou les affaires de la vampire était poser qui n'était pas comme les autres c'était plutôt une maquilleuse car un miroir était devant la jeune fille. Aucun reflet d'elle se voyait comme si elle avait disparut de la terre à jamais.

C'est avec un naturel qu'elle déposait sur cette maquilleuse de quoi ce parfumer , se maquiller , se brosser bref toute une trousse de femme était sortie. Puis s'était au tour des vêtements biensur elle n'allait pas les rangers mais elle en prenait juste une noire et bleu assez voyant pour se diriger vers la salle de bain. Au bout de quelques minutes elle sortait de cette piéces fraichement habiller et saine elle regardait par la fenêtre toujours pas de soleil en vue ! Alors elle decidait de ce lever pour faire un tour dans le manoir. Quand elle ouvrait ces portes afin de quitter sa chambre une domestiques ce tenait devant avec un major d'homme. VAl ne faisait pas attention à leur allure tant qu'ils faisaient du bon travail.

"Vous pouvez faire la chambre et rangez mes affaires mademoiselle quand a vous monsieur emmenez moi à la bibliothéque de ce manoir !"

Une certaine autoriter pouvait ce lire dans sa phrase mais avec de la grace. La servante baissait la tête et entrait dans la chambre puis le major d'homme d'un geste du bras exécutait les ordres de la dame. Aprés des escaliers descendu et des couloirs traversées elle se trouait devant une immence porte en bois dorée, l'homme qui l'accompagnait la saluait et partait faire d'autre activitée ! Val ouvrait la porte avec un grand sourire et pouvait faire connaissance avec une immence ranger de livre. DEs bougies éclairait la piéce des fauteuils mit à disposition et une femme qui prenait un vieu livre. On pouvait entendre que le bruit de ces bottes noires qui claquait contre le sol afin de s'assoir dans un des fauteuil en attendant son Seigneur ! Val se disait qu'elle allait surement l'entendre arriver vue qu'il y a qu'une porte d'entrée au moins qu'elle ne connaissait pas tout les recoins du château !

» Une mauvaise et bonne nouvelle